Installation de ubuntu karmic koala : aide-mémoire personnel.
Ce billet n’est pas un tutoriel d’installation, mais un aide mémoire de ce que j’ai fait sur le premier pc afin de recopier la même installation sur les vingt autres ordinateurs et obtenir exactement les même systèmes, c’est à dire un parc homogène autour des serveurs. Je pars de desktops et laptops récents sur lesquels sont installés divers OS inutiles (xp et vista) ainsi qu’un linux mint helena upgradé depuis gloria mais qui ne me satisfait pas. Les disques ont été partitionnés de façon … disons « folkorique » … par une entreprise professionnelle qui a donné entre 75% et 80% du disque aux OS microsoft qui nous sont inutiles et qui n’a pas séparé la racine « / » et le « /home « dans la partition en ext4, qui d’ailleurs était en ext3. Bref, à refaire.
Les choix que je fais sont liés à l’utilisation locale, c’est à dire du traitement de texte, du logiciel éducatif, de la messagerie, du son, de la vidéo, du traitement d’image, de la navigation sur le web, du blogging et une interface simplifiée à l’extrême.
Première étape, partitionner les disques correctement.
Première chose, je boot chaque pc sur un liveCD (comment booter sur cd) ubuntu 9.10 et je lance gparted qui se trouve dans le menu « système ». je réduis les partitions pour windows à 30Go, vu qu’elles ne serviront probablement jamais, c’est largement suffisant. Je démonte la swap avec un clic droit, je supprime l’ancienne partition linux en ext3 et je fixe la « swap » à 2Go.
Seconde étape, installation de base d’ubuntu.
Je connecte les pc à internet (pour les mises à jour de langage durant l’installation), puis je double-clique sur installer ubuntu. je réponds aux quelques réglages : français, France, france-alternative, même nom et même code pour tous les pc (c’est un réseau où ils n’ont aucun sens à être différenciés, sauf les serveurs), connexion immédiate. Pour les partition, je choisis manuel. Sur l’espace disponible, je garde 15Go en ext4 pour le « / » et tout le reste en « /home ».
Au redémarrage, accepter les mises à jour.
Troisième étape, ajout des sources medibuntu et ryxeo
Cela permettra d’une part d’ajouter les outils non libres qui « pourrissent » le web, comme les codecs proprio ou le flash (C’est une concession par confort, car de nombreux webmasters font dans le proprio) et d’autre part, d’obtenir les excellents logiciels éducatifs du « terrier ».
Ouvrir une console et taper :
sudo gedit /etc/apt/sources.list
la liste des sources apparaît dans un éditeur de texte qui possède les droits admin.
Je rajoute les lignes suivantes à la fin de la liste :